Première A.G au Cap'Com lyonnais

Publié le par Béguin

 L'UNPCP a tenu sa première réunion de travail lors du dernier CAP COM lyonnais de décembre derrnier. L'occasion pour une vingtaine d'adhérents de faire le point sur les statuts de l'association et ses objectifs, l'organisation des antennes régionales de l'association, la représentation des membres du bureau.
L'enquête lancée sur nos grilles salariales fera  l'objet d'une prochaine communication aux adhérents et aux participants de l'enquête.
Par ailleurs, un des axes de travail important - la création d'une filière Communication Publique dans la F.P - a été débattu et largement commenté. Vos contributions à ce débat nous intéressent évidemment.
Une filière, est ce le début de la reconnaissance de nos métiers, d'un vrai cadre d'emplois, et de clarification de nos missions, ou est ce "l'enfermement" dans un carcan dont la rigidité nous porterait à terme préjudice ?...
Donnez nous votre sentiment pour alimenter nos réflexions. A vos claviers, communicants !

Publié dans 1 - accueil

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Vaste débat qui resurgit régulièrement tel un serpent de mer, une filière communication dans<br /> la FPT. Pour<br /> ma part, je m’interroge. Sommes-nous suffisamment nombreux pour constituer une filière qui ne soit pas dès sa création totalement bouchée et sclérosée ? Ne constituerait-elle pas une prison dorée? Quelle passerelle avec les autres filières ? <br /> Au moment où<br /> la FPT<br /> , s'éloigne petit à petit des notions de statut et de filière pour s'orienter vers une logique métier, est-ce vraiment pertinent et adapté à nos fonctions qui conservent un caractère politique que pour ma part j'assume totalement ? Je suis très prudent à toute solution qui nous enfermerait dans une technicité neutre et froide, laissant les seules missions fonctionnelles et politiques aux directeurs de cabinet et aux directeurs généraux. Ceci dit, je trouve totalement anormal que notre fonction soit désormais l’une des dernières de<br /> la FPT<br /> a ne pas posséder son statut et ses règles de protection, obligeant chaque collectivité, soit au bricolage, soit à maintenir ses collaborateurs dans une précarité indigne de la reconnaissance, maintenant admise, du rôle stratégique de nos fonctions. Pour ma part, je me demande si la solution ne réside pas dans une reconnaissance du rôle fonctionnel de nos métiers, avec ses devoirs et ses droits. Les DG et DGA disposent aujourd’hui d'un tel statut assurant à la fois leur protection et assumant leur rôle politique. Sans parler filière, la solution serait alors tout simplement un accès plus adapté au concours où à une intégration possible après validation des acquis, du savoir-faire et de l’expérience, comme bien d’autres métiers de<br /> la FPT.<br />  <br /> <br /> De même, les emplois de cabinet ont vu récemment leur statut fortement progresser, en terme de rémunération et de protection après contrat. Pourquoi ne pas offrir la possibilité à une collectivité de signer des contrats plus longs, sur la durée du mandat avec une protection en cas de non renouvellement ?<br />  <br /> <br /> Filière, accès plus facile à la filière générale ou adaptation des contrats, j’avoue ne pas connaître la solution. J’ai en revanche une conviction : le pire serait de rester au milieu du gué, à attendre les effets du CDI, sans véritable reconnaissance de la technicité de notre métier dont l’utilité n’est désormais plus contestée. Il nous faut en parler, avec les DG, avec les dir cab, avec les élus, entre nous, c’est sans doute de la discussion et de la revendication que sortira la solution. J’attends donc avec impatience vos réactions.<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> Vincent Nuyts<br />  <br /> <br /> directeur de la communication de Besançon.
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